Addict à votre mobile? Faites le test!

Une étude suisse prouve que les téléphones portables représentent un danger pour la population. Six people ont fait un test d’addiction. Comparez votre score aux leurs!

Lisa Mazzone, conseillère nationale Les Verts, Genève

Darius Rochebin, journaliste de télévision, Genève

Whitney Toyloy, Miss Suisse 2008, «product manager»

Pierre Crepaud, chef du restaurant LeMont Blanc, Le Crans Hôtel & Spa, à Crans-Montana.

Océane, écolière et chanteuse, candidate à «The Voice Kids» 2017

Jean-Claude Biver, président de Hublot et de la division montres de LVMH

Cette étude aussi rigoureuse qu’alarmante, publiée cette semaine, confirme que la téléphonie a bel et bien un impact neurologique négatif en cas d’utilisation excessive et sans précaution. L’irrésistible ascension de ces téléphones en Suisse et dans les autres pays industrialisés date d’il y a vingt ans. En 1998, 20% des Suisses avaient déjà craqué pour un téléphone cellulaire, un natel comme on disait à l’époque. L’année suivante, ils étaient 30%. En 2000, 45%. Et aujourd’hui plus de… 130%! La somme des abonnements et des cartes à prépaiement dépasse en effet le nombre d’habitants du pays.

Quant au smartphone, son triomphe commercial date de dix ans. En devenant un ordinateur de poche relié à internet, le téléphone mobile s’est imposé comme une prothèse incontournable dans la vie quotidienne. Ce saut technologique a en outre fait exploser le temps passé sur ces appareils. Selon l’étude James 2016, menée par Swisscom, les jeunes Helvètes passent ainsi en moyenne deux heures et demie par jour sur leur mobile. Et le samedi et le dimanche, ce kidnapping technologique frise les quatre heures.

Compte tenu du fait que 99% des jeunes Suisses possèdent un de ces appareils, cette emprise peut bel et bien être qualifiée de massive. Cette addiction a d’ailleurs fait réagir, en 2017, des actionnaires d’Apple, qui ont demandé à la firme californienne d’intégrer des outils de contrôle parental dans ses iPhone afin d’aider les jeunes (et moins jeunes) à se souvenir que le monde ne se limite pas à une fenêtre de 10 centimètres de large.

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