Nous avons fait procéder aux tests de notre technologie sur un smartphone génération 5G dans le laboratoire NEXIO (laboratoire accrédité 5G).
Le rapport indique clairement les atténuations obtenues.
Tout complément d’info sur demande !
Nous avons fait procéder aux tests de notre technologie sur un smartphone génération 5G dans le laboratoire NEXIO (laboratoire accrédité 5G).
Le rapport indique clairement les atténuations obtenues.
Tout complément d’info sur demande !
Les stations émettrices installées sur le territoire suisse permettent à la population de recevoir les programmes de radio et de télévision et d’accéder au réseau de téléphonie mobile. Les sites des émetteurs sont recensés sur une carte synoptique.
Quel émetteur puis-je capter depuis chez moi et sur quelles fréquences puis-je trouver les programmes que je cherche? Vous trouverez réponse à ces questions dans notre aperçu des sites des émetteurs en Suisse. Cette application interactive est simple à utiliser: suivez les instructions et choisissez sur la carte la zone qui vous intéresse, jusqu’à ce que des points jaunes apparaissent. Ces points représentent les installations de radiodiffusion.
Vous trouverez ci-dessous une carte synoptique indiquant où sont situées les différentes installations de ce type.
Les programmes diffusés et les fréquences utilisées à cet effet sont indiqués pour chaque emplacement hébergeant un émetteur de radiodiffusion. De plus amples informations concernant les émetteurs peuvent être obtenues auprès des autorités compétentes en matière d’environnement (canton ou commune).
Des points de différentes couleurs indiquent sur la carte les emplacements des stations de radiodiffusion (radio et télévision) ainsi que les stations de base pour la téléphonie mobile.
Explications concernant la carte synoptique
Emplacements des stations émettrices
Vous pouvez également télécharger ici, sous la forme d’une liste des émetteurs, les programmes OUC diffusés en Suisse.
Source OFCOM : https://www.bakom.admin.ch/bakom/fr/page-daccueil/frequences-et-antennes/emplacement-des-stations-emettrices.html
Eva Roethlisberger fait partie des 5% de suisses souffrant d’électrosensibilité. Les scientifiques restent encore divisés sur l’origine de ce mal. Article par Martin Bernard, publié dans la 24 Heures, le 5 août 2017.
Les ondes électromagnétiques sont invisibles mais nous pénètrent en permanence. Elles sont omniprésentes au travail, dans les lieux publics ou dans les immeubles d’habitation.Elles tissent leur toile au rythme du développement exponentiel des technologies numériques (antennes relais, téléphones, objets connectés, etc.) Aujourd’hui, la majorité de la population n’en a pas conscience. Mais pour certaines personnes, vivre en leur présence est un vrai calvaire.
C’est le cas d’Eva Roethlisberger, à Gland. Cette jeune femme de 40 ans a dû arrêter son métier de cadreuse après avoir découvert son électrosensibilité en 2005. Son problème principal est le wi-fi. Exposée trop longtemps à ses radiations, elle dit ressentir “comme des brûlures d’orties partout dans les bras“, une très violente tachycardie et un puissant étau dans la tête. “Je ne peux plus réfléchir tellement les douleurs sont fortes. Il faut alors que je parte sinon je fais un malaise. Selon l’intensité, j’ai parfois besoin de quelques jours pour me remettre”, témoigne la jeune femme.
Leur maladie n’est pas reconnue officiellement, mais les personnes hypersensibles aux produits chimiques seraient au moins 5000 en Suisse. Atteintes de symptômes divers, elles ont beaucoup de mal à vivre dans des habitations classiques. Près de Zurich, un immeuble a été spécialement construit pour leur proposer un cadre de vie compatible avec leur maladie.
C’est une première en Europe. Leimbach, banlieue résidentielle à 15 minutes du centre-ville de Zurich, accueille depuis le mois de décembre un immeuble dédié aux personnes souffrant d’hypersensibilité chimique multiple (ou MCS pour Multiple Chemical Sensitivity) et/ou électromagnétique. Fruit d’une collaboration étroite entre la ville de Zurich et la coopérative d’habitation Gesundes Wohnen MCS, présidée par Christian Schifferle, ce projet a mis six ans à voir le jour. Il accueille aujourd’hui dix locataires.
Lire la suite sur planetesante.ch
Une étude scientifique vient de confirmer le lien entre usage intensif du téléphone portable et cancer du cerveau. Mais cela fait longtemps que les organismes officiels connaissent les effets sur la santé des ondes électromagnétiques. Un rapport commandé par la NASA l’avait établi dès… 1981. Reporterre révèle ce document étonnant et a retrouvé son auteur.
Avec Léon Warnier, juriste et criminologue.
Nous baignons dans des champs électromagnétiques (CEM) naturels et artificiels.
Quels sont leurs possibles effets bénéfiques ou pervers sur nos organismes dont le fonctionnement est… électromagnétique?
Quid des lignes à haute tension?
Les smartphones, routeurs wifi, antennes-relais et objets connectés génèrent des CEM de hautes fréquences. Pourquoi les assureurs ne couvrent-ils plus les dommages corporels causés par les CEM de la téléphonie mobile?
Pourquoi une plainte pénale a-t-elle été déposée contre un fabricant de smartphones?
Les normes en vigueur nous protègent-elles effectivement?
Quels sont les conseils pratiques pour réduire notre exposition aux CEM?
Informations et réservation sur le site arcinfo.ch
Electromagnétisme : Téléphones mobiles, WiFi, chemins de fer, réseaux électriques, appareils électro-ménagers: notre quotidien baigne dans les champs électromagnétiques, d’autant plus avec le développement des nouvelles technologies sans fil, devenues omniprésentes. Leurs effets à long terme sur notre organisme sont encore méconnus, mais de plus en plus de personnes souffrent de symptômes qu’elles attribuent aux sources de rayonnement, il s’agit de l’électrosensibilité. A l’heure actuelle, il n’existe pas de preuve scientifique d’un lien de cause à effet et le milieu médical se montre aussi sceptique que désemparé. Pourtant, un cas vient d’être pour la première fois reconnu par la justice française. Faut-il considérer les électrosensibles comme des lanceurs d’alerte? Les valeurs limites légales sont-elles vraiment une garantie en regard des enjeux politiques, économiques et sociétaux?
Enquête et témoignages.
Lire l’article très complet sur leregional.ch
Une étude suisse prouve que les téléphones portables représentent un danger pour la population. Six people ont fait un test d’addiction. Comparez votre score aux leurs!
Lisa Mazzone, conseillère nationale Les Verts, Genève
Darius Rochebin, journaliste de télévision, Genève
Whitney Toyloy, Miss Suisse 2008, «product manager»
Pierre Crepaud, chef du restaurant LeMont Blanc, Le Crans Hôtel & Spa, à Crans-Montana.
Océane, écolière et chanteuse, candidate à «The Voice Kids» 2017
Jean-Claude Biver, président de Hublot et de la division montres de LVMH
Cette étude aussi rigoureuse qu’alarmante, publiée cette semaine, confirme que la téléphonie a bel et bien un impact neurologique négatif en cas d’utilisation excessive et sans précaution. L’irrésistible ascension de ces téléphones en Suisse et dans les autres pays industrialisés date d’il y a vingt ans. En 1998, 20% des Suisses avaient déjà craqué pour un téléphone cellulaire, un natel comme on disait à l’époque. L’année suivante, ils étaient 30%. En 2000, 45%. Et aujourd’hui plus de… 130%! La somme des abonnements et des cartes à prépaiement dépasse en effet le nombre d’habitants du pays.
Quant au smartphone, son triomphe commercial date de dix ans. En devenant un ordinateur de poche relié à internet, le téléphone mobile s’est imposé comme une prothèse incontournable dans la vie quotidienne. Ce saut technologique a en outre fait exploser le temps passé sur ces appareils. Selon l’étude James 2016, menée par Swisscom, les jeunes Helvètes passent ainsi en moyenne deux heures et demie par jour sur leur mobile. Et le samedi et le dimanche, ce kidnapping technologique frise les quatre heures.
Compte tenu du fait que 99% des jeunes Suisses possèdent un de ces appareils, cette emprise peut bel et bien être qualifiée de massive. Cette addiction a d’ailleurs fait réagir, en 2017, des actionnaires d’Apple, qui ont demandé à la firme californienne d’intégrer des outils de contrôle parental dans ses iPhone afin d’aider les jeunes (et moins jeunes) à se souvenir que le monde ne se limite pas à une fenêtre de 10 centimètres de large.
Après Vaud en 2019, le Jura généralise l’interdiction des portables dans l’enceinte des établissements scolaires du canton, cours et préaux compris. La mesure, qui prévoit des sanctions, entrera en vigueur en août 2020.
Berne, 18.12.2015 – Le rayonnement non ionisant – ou électrosmog – est omniprésent. Pour obtenir une vue d’ensemble de la situation à l’échelle du pays, le Conseil fédéral a présenté aujourd’hui un concept de surveillance nationale.
Le mandat d’élaborer un système de surveillance nationale des champs électromagnétiques a été donné par le Conseil national, dans un postulat (09.3488) déposé par la conseillère nationale Yvonne Gilli (PES, SG) en 2009 et transmis au Conseil fédéral en 2011. Dans son rapport, le Conseil fédéral constate qu’il est possible de surveiller les champs électromagnétiques sur l’ensemble du territoire suisse, même si la tâche s’avère complexe. Quatre modules complémentaires sont proposés, comprenant notamment la mesure et le calcul des immissions ainsi que le regroupement des données déjà relevées par les cantons. Les coûts pour la mise en place et l’exploitation du système de monitoring sur une période de dix ans sont estimés à sept millions de francs.
Le Conseil fédéral avait déjà affirmé dans son rapport du 25 février 2015 intitulé «Réseaux de téléphonie mobile adaptés aux exigences du futur» qu’une surveillance du rayonnement des installations de téléphonie mobile et des autres sources devait être mise sur pied rapidement. Le rapport adopté aujourd’hui jette les bases scientifiques et techniques du monitoring. La question du financement n’est toutefois pas encore réglée.
Source : https://www.bafu.admin.ch/bafu/fr/home/themes/electrosmog/communiques.msg-id-60064.html